dimanche 31 mai 2015

BIAM#2 - Semaine 4

Du 01 au 05 juin 2015


Jana und Js (Autriche/France)
http://www.janaundjs.com/


(Intervention: Lille, rue de Maubeuge)

Jana und JS forment un couple d'artistes dont le travail s'inscrit aussi bien dans l'espace urbain que dans des lieux d'expositions fermés.
Inspirés par la ville et son architecture en perpétuelle mutation, mais aussi par ceux qui la vivent et l'observent, ils peignent des paysages urbains, de simples détails d'architecture et des portraits dans des jeux de miroirs, de transparence et de mise en abîme.
Ils utilisent la technique du pochoir (développé auprès d'artiste-ouvrier au sein du collectif wca), reposant exclusivement sur leur travail photographique.
Autrichienne et Français, ils vivent désormais à Salzbourg en Autriche après avoir passé quelques années à Madrid et à Paris.





Baba Jung (Brésil)
http://www.quartoamado.com/babajung/

(Intervention: Hellemmes, rue Jean Bart)

Baba est un artiste autodidacte qui a développé son travail au travers de ces voyages et de ces expériences. 
Il a parcouru le monde pendant plus de 11 ans, il a vécu en Gambie, en France, en Espagne et en Allemagne. 
De retour au Brésil en 2010, il trouve dans l'univers ferroviaire son support naturel et peint ainsi comme sur de grandes feuilles métalliques les trains de fret.




Wagner Braccini (Brésil)
https://www.facebook.com/wagner.braccini
https://instagram.com/wagnerbraccini/

(Intervention: Villeneuve d'Ascq, rue de Florence)

Artiste plasticien, il fonde en 1991 le groupe mille Corez, accomplissant les premiers Graffiti Hip-hop dans le centre de Bello Horizonte. 
En 1994, il organisera la première jam Graffiti dans Bello Horizonte au Centre Culturel d'UFMG, il marquera ainsi toute la nouvelle génération de grafiteiros de la ville.
Il aime utiliser tous les supports et techniques, on reconnaît facilement son travail grâce à son style aux couleurs vives.






Deris (Burkina Faso)

(Intervention: Lille, rue du Faubourg des Postes)
  
Connu sous le nom de Deris,( Issaka DERA ) cet artiste autodidacte avance sur le chemin de l’art en polyvalence. Séduit et convaincu au départ par le dessin, il se veut libre en s’exprimant. 
Il passe par la bande dessinée, la caricature, la calligraphie, aujourd’hui c'est le graffiti qui l’occupe le plus. S’en suis un parcours artistique qui l'amène à participer à  nombre de festivals tel que Ouaga hip hop au Burkina Faso, Regraff au Benin, The Wall au Togo, et Festigraff 5 à Dakar au Sénégal.
Tantôt stagiaire, tantôt formateur, il est également précurseur et instigateur de l’art de rue  au Burkina Faso.    





Atom et Mask (France)
http://www.fatcap.org/artiste/atom.html

(Intervention: Hellemmes, rue Dordain)

Artistes graffeurs depuis le début des années 90, Atom et Mask maîtrise le lettrage et la couleur mais ils ne se privent pas quant ils s'agit de réaliser des perso et autres décors.
Les pièces d'Atom sont reconnaissables par leur style 3D qu'il affectionne tout particulièrement, le plus souvent accompagné de "perso".
Mask quant à lui aime déstructurer les lettres et les imbriquer pour leur donner de la dynamique, il crée autour d'elles tout une thématique afin de faire passer un message.







Esmaeil Barhani (Iran)
http://www.dastangallery.com/?p=548#

(Intervention: Lille, rue de Flandre)

Esmaeil Bahrani est né en 1978. 
Il a reçu sa licence de peinture à l'université d'Art et l'Architecture de Téhéran . 
Il vit actuellement dans la région du Karaj - Mehrshahr en Iran.
"Je sors du lit. Je retourne au lit. La couleur bleu n'a aucune place" tel est son proverbe!
Esmaeil Barhani participe à plusieurs expositions solo comme à Tarrahan Azad (Iran) en 2003 ou à la Dastans Basement Gallery (Iran) en 2012.
Il aime également peindre avec d'autres artistes que se soit dans le cadre d'expositions (Homa gallery 2012,Kamaleddin Behzad gallery 2006, Aban gallery 2005, Paris 2009) ou lors de performances collectives (Miam museum 2007, Auberiva 2007).


mercredi 27 mai 2015

BIAM#2 - Les fresques de la 2éme semaine.

MICHAEL BAREK
(Bvd Jean-Baptiste Lebas, Lille)

BIAM#2-Michael Barek




M CITY
(Rue de Maubeuge, Lille)

BIAM#2-M City




MARC MOUNIER KUHN
(Rue Ledru-Rolin, Hellemmes)

BIAM#2-Mark MK





HELL'O MONSTERS
(Rue Roger Salengro, Hellemmes)
BIAM#2-Hell'O Monsters


BIAM#2 - Semaine 3

 Du 25 au 29 mai 2015

Psyckoze (France)

http://www.psyckoze.com/

(Intervention: Villeneuve d'Ascq, rue du Blason)

Psychoze No Limit est un artiste urbain.
Graffeur depuis la première heure en France, il alterne depuis plus de quinze ans les fresques grand format sur les murs de la ville et les expositions de peinture sur toiles dans les lieux atypiques.
Dans un cas comme dans l'autre, sa démarche reste la même: mettre l'art pictural à la portée de tous en l'installant dans la rue ou dans des lieux accessibles à tous.
Découvrez l'ensemble du parcours de Psychoze No Limit depuis 1984 sur son site web.





Bandi (Suisse)
www.facebook.com/nadib.bandi

(Intervention: Lille, croisement rue Vermersch/ rue du Faubourg d'Arras)

Originaire de France il vit actuellement à Genève en Suisse, Nadib alias Bandi, est à 34 ans un graffeur au style artistique bien à lui! En effet, nous ne parlons plus ici de graffiti constructif ou de « Post Graffiti Abstrait ».Une fusion entre des influences picturales antérieurs au graffiti et l’apport de ce dernier en terme de style et de support. Ne lui parlez surtout pas de street Art, car à ce jour, il n’a toujours pas compris ce que ça voulait dire…
Fasciné par le graff, Bandi s’essaya d’abord par faire quelques tags. C’est en 1996, après avoir vécu 2 ans à Paris qu’il se mit sérieusement à pratiquer le graffiti! Il puisera ensuite des influences hors graffiti (peinture abstraite du 20ème) puis en partant des défauts de son dessin pour aboutir empiriquement à un style qu’il espère continuer d’enrichir au fil du temps et des influences.
Des souvenirs il en a tellement qu’il lui est impossible d’en citer un en particulier !!! 



Nuria Mora (Espagne)
http://www.nuriamora.com/

(Intervention: Lille, rue d'Athènes)
Il y a quelque chose d'intrinsèquement subtil dans le travail de Nuria, qui vous amène à vous confrontez à vous même de façon inattendue, imprévue, mais toujours de manière délicate.
Est-ce que son travail s’inspire de la féminité?
Cependant il ne s’agit pas de féminité en termes de peinture, de thèmes spécifiquement féminins mais de la façon dont elle travaille avec son environnement.
Elle n’essaie pas de dominer cet environnement ni d’y attacher une signification, mais bien de capter et d'apprécier l'espace qui nous entoure, une façon nouvelle de voir notre milieu urbain.
Le travail de Nuria crée une interaction avec la surface, c’est un échange entre elle et la ville, mais il doit aussi être compris comme une tentative de créer un dialogue avec le public.

Elle appelle ainsi son travail « langue ouverte », de poésie silencieuse, sensible, marchant contre la saturation et la surcharge de signaux auxquels nous sommes soumis dans la vie urbaine quotidienne.

Par une pratique spontanée, respectueuse, considérant l'espace, l’endroit et le voisinage lui-même, Nuria essayent ainsi de créer « un lieu de libre pensée », «un espace de hors du temps » en utilisant une langue qui est « infinie », « abstraite »' et ainsi « universelle ».
En utilisant des installations, des vidéos, des peintures murales, de l'aquarelle, Nuria recrée ainsi son monde dans ce nouveau contexte, le connectant d'une façon ou d'une autre avec l'espace de la ville, avec le monde réel à l'extérieur de cet endroit.








Deris (Burkina Faso)


(Intervention: Lille, rue du Faubourg des Postes)

  
Connu sous le nom de Deris,( Issaka DERA ) cet artiste autodidacte avance sur le chemin de l’art en polyvalence. Séduit et convaincu au départ par le dessin, il se veut libre en s’exprimant. 
Il passe par la bande dessinée, la caricature, la calligraphie, aujourd’hui c'est le graffiti qui l’occupe le plus.
S’en suis un parcours artistique qui l'amène à participer à  nombre de festivals tel que Ouaga hip hop au Burkina Faso, Regraff au Benin, The Wall au Togo, et Festigraff 5 à Dakar au Sénégal.
Tantôt stagiaire, tantôt formateur, il est également précurseur et instigateur de l’art de rue au Burkina Faso.    


mercredi 20 mai 2015

BIAM#2 - Les fresques de le 1ère semaine.


ATOMIC et SHURE  
(Rue Charles Isbergues, Wavrechain sous Denain)

BIAM#2/Atomic/Shure



FRED CALMET'S

(Rue du 8 mai 1945, Denain)

BIAM#2/Fred Calmet's



VLP (Vive La Peinture)
(Rue de Villars, Denain)

BIAM#2/Vive La Peinture

samedi 16 mai 2015

BIAM#2 - Semaine 2


     Du 18 au 22 mai 2015

   Hell'O Monsters (Belgique)
https://www.facebook.com/pages/Hello-monsters/104811109587392

(Intervention : Hellemmes/ 163 Rue Roger Salengro)

Pour le collectif Hell’0 Monsters au sein duquel collaborent 3 plasticiens de talent : Jérôme
Meynen (Mons),
Antoine Detaille (Péruwelz) et François Dieltiens (Mons), l’art est prétexte à sublimer autant
qu’à diaboliser les turbulences de notre jeune millénaire.

La grisaille et la morosité ambiantes s’exacerbent dans leurs dessins noir et blanc d’une
finesse chirurgicale ou leurs installations d’une implacabilité robotique.

Là, leurs avatars, monstres aux expressions d’autant plus troublantes qu’ils s’avèrent aussi
sympathiques 
et repoussants que nous, peuvent s’accoupler et se guillotiner, s’interpénétrer et se
déchirer, se démultiplier 
et se décomposer sans répit en nous égarant dans de labyrinthiques jeux de cirque
jubilatoires.

Détournant les symboles de nos traditions mystico-ésotériques, les confiant aux héros des
cartoons et bédé de notre enfance, les graffitant dans nos rues et les virtualisant pour nos
ordinateurs, Hell’O Monsters nous jettent un sort...

Un regard ironique, cru et attendri sur nos us et coutumes d’humanoïdes civilisés.

Hell'O Monsters




Michael Barek (France) 

www.michaelbarek.com


       
      (Intervention : Lille, bvd Jean Baptiste Lebas)

Né en 1970
Vit et travaille à Paris.

Depuis toujours Michael BAREK peint. Armé quelques temps de bombes aérosol, il s’imprègne de la technique du graffiti, des supports de la rue, de la débrouille et de la musique. 


Être à l’avant- garde de son art, se renouveler sans cesse, c’est bel et bien un «artiste». M.B. s’alimente et puise ses influences au travers de plasticiens comme F. Bacon, P. Alechinsky, J.M. Basquiat ou des illustrateurs comme R. Crumb…

Observateur et réceptacle du monde qui l’entoure, il construit ses traits et son monde de signes chez les primitifs, la peinture mexicaine, la culture maghrébine ou encore africaine (…). M.B. fabrique son vocabulaire.
Sa peinture devient une écriture qu’il faut apprendre à lire. Les couleurs et les formes en sont les termes, les lignes la ponctuation. 
L’humour de M.B. est bileux et noir, le rire qu’il provoque est inconfortable.

Les aplats de couleurs et le traitement des détails méticuleux sont crûment juxtaposés.
Devant des fonds souvent lumineux il pose ses faisceaux de lignes graphiques qui viennent serpenter ou segmenter ludiquement la surface pour donner un rythme général.
Le spectateur, happé, se perd dans le labyrinthe. Le côté hybride de son art est le résultat d’un mélange de techniques telles que la peinture, le graffiti, les collages et les assemblages. L’important est d’expérimenter.

Ce qu’il a pratiqué la veille ne l’intéresse plus le lendemain. Mais, obsessionnel, il n’abandonne pas complètement. Michael BAREK affûte avec obsession pinceaux et brosses.
Il emmagasine et conserve dans son carnet des bouts de papelards découpés, des dessins …
Son rapport aux papiers est déterminant, leurs accidents apparaissent chez lui comme des incidences.
Il en arrive à des accumulations, à des collisions et à des recouvrements.
Armé de ses visions, il alimente sans cesse son répertoire. 

Le thème de la mort passe souvent au premier plan: la face obscure et menaçante de l’existence est très largement représentée dans son œuvre. Engagé et enragé face au monde qui l’entoure, M.B. multiplie les symboles et donne un ordre constructif au chaos : des têtes de morts pour incarner les « zombies » spectateurs de leur chute, des oiseaux charognards pour les détenteurs de pouvoir, des arbres pour les racines absentes, des dents serrées pour accentuer la tension de ce qu’il ressent. Et ses visions… car M.B. est aussi un rêveur conscient.



Michael BAREK est avant tout peintre. Un peintre d’idées. En grand coloriste, il maîtrise les teintes franches et chatoyantes. Il leur donne vie par la matière, il anime avec force ses récits par l’exactitude de sa touche d’un geste incisif, sans trembler.

Car il est armé.


Michael Barek




                                               M City (Pologne) 
                                                  www.m-city.org


(Intervention rue de Maubeuge, Lille)

Né en 1978 à Gdynia.

Un artiste graphique, peintre extérieur, voyageur, architecte amateur.

Il termine ses études au Département d'Art Graphique de l'Académie des Beaux-arts de Gdansk et il est actuellement assistant du conférencier aux ateliers de peinture du Professeur Jerzy Ostrogórski.

Le projet de M City compte plusieurs centaines de peintures murales.
Son travail se concentre sur l'espace urbain.

On peut voir ses peintures murales dans les rues de Varsovie, Gdansk, Berlin, Paris, Budapest, Sao Paulo, le Rio de Janeiro, Bolzano, Londres et Prague, aussi bien que dans des galeries d'art, y compris des expositions individuelles à l'Arsenal dans Poznan (2005) et le CSW Laznia dans Gdansk (2006).
Il est également conservateur du 238x504 à la galerie de Gdynia, archiviste et collectionneur de l’art de la rue en Pologne.


Artiste indépendant, il est régulièrement récompensé pour ces réalisations.



M-City




Marc Mounier-Kuhn (France)
www.flickr.com/photos/marc mk/


Travaille et vit à Lille

Photographe indépendant (expositions Salade d’orchidée, [en aparté],…), colleur de rue (Don Quichote de la Mancha), réalisateur de films d’animation en pixilation, plasticien. 

Co-fondateur et co-président de l’association le LEM et du collectif LEM-Utopia. 
Il s’occupe de la production, de l’administration, de la communication, de la scénographie, des archives visuelles et de la direction artistique. 

Ancien membre de Guéria (expositions collectives et interventions urbaines), il travaille régulièrement avec la Cie Les sangs cailloux / Groupe anonyme, Pesce Crudo / Etxea (…).


Marc Mounier-Kuhn








dimanche 10 mai 2015

BIAM#2 - Semaine 1

    Du 11 au 15 mai 2015



          Fred Calmets (France)

(Intervention : Denain, angle de la rue E. Zola et du Bvd du 8 mai 1945)
Attention présent uniquement du lundi 11 au mercredi 13 mai

Fred Calmets est un peintre, graveur et dessinateur né en France en 1976. Il vit et travaille à Poitiers (France). Commençant ses premiers travaux à l’aérosol sur les murs des métropoles, il a d’abord été médiateur culturel pour sa ville natale, puis graphiste dans un magazine, avant de se consacrer pleinement à la peinture en 2009.

Profondément humain et en prise avec son temps, Fred Calmets est un peintre aux influences multiples. Etant issu de la grande famille du street art, peindre ne l’empêche pas de retourner constamment à son mouvement artistique premier de manière à ce que murs de briques ou de béton, ponts ou maisons abandonnées n’échappent à l’artiste. Fred Calmets, véritable « fétichiste du mur », s’adapte inexorablement aux multiples textures, aspérités et formats de la rue.

Sa peinture est un regard et une exploration permanents de la Femme.
La femme avec ses faiblesses, ses forces, ses contradictions et ses richesses. 

A travers ses grands coups de brosse, Fred Calmets a le sens du détail, du réalisme.

Fred Calmets




VLP (France)


(Intervention : Denain, Foyer des anciens rue de Villars)


Lorsque ce collectif de peintres voit le jour en 1983, c'est une rencontre d'étudiants désireux de couper avec l'art conceptuel et de revenir à l'authenticité du geste pictural.

Michel  ESPAGNON et Jean GABARET  se sont rencontrés dans les catacombes ( un classique de l'underground à l'époque ) où ils ont décidé d'épouser une même cause : la peinture. 
Substituant la synergie du groupe à l' ego de l' artiste , ils commencent alors à peindre en commun des fresques signées " VIVE LA PEINTURE " .
 Leur terre d' éléction , ce sont les palissades qui ceignent les chantiers; là, ils apposent leur peinture stridente et primitive , comme en 1984 , où sans préméditation ni orthographe, ces " SOVAJ DE VIL ATAK FORT BOBOUR ".

Tout au long des années 80 , les VLP multiplient les coups d' éclat. Pochoirs , cartons découpés , affiches ,martèlent leur nom programmatique et en consacrent l' ubiquité. Leurs performances spectaculaires , au cours desquelles ils dissèquent à la tronçonneuse des morceaux de palissades , leur valent l' attention du public et des médias. Mais le groupe cherche aussi à fédérer la mouvance graffitiste.

Ainsi , en 1985 , les VLP invitent d' autres "sauvages " à venir peindre le long du canal de l' Ourcq à Bondy. 

A la fin des années 80 , alors que l' art urbain s' affaisse dans la morosité des années sida , les VLP délaissent un temps la rue pour les performances en boîte de nuit ( La Loco , le Rex ) et les expos en Allemagne. 

Fidèles à leur credo pictural , les VLP créent  ZUMAN  au tournant du millénaire. Ce profil , créé par ordinateur sur la base d' une collecte de photos , est soumis par les artistes à toutes sortes de variations chromatiques et formelles .

Sculpté , photocopié ou peint sur toiles ou pancartes , Zuman se promène à travers la ville et donne lieu à une gamme d' actions urbaines entièrement neuves , où l' art prend des allures de défilé politique.


VLP




     Atomic (France) 
       
        (Intervention : Wavrechain sous Denain, rue Roger Salengro)
                           
Né en 1981.
Vit à Valenciennes (59)
Graphiste/Graffiti Artiste/Motion Designer

Membre des Collectifs Renart et Many Vectorz
Durant son passage à l’école des Beaux-arts de Valenciennes à la fin des 90’s, il découvre le Graffiti et s’initie à cette discipline qu’il maitrisera rapidement.

Il décroche ensuite un diplôme d’infographiste qui lui permettra de se spécialiser entant que FX Motion Designer.
Après un passage en studio de post-production où il réalisera de nombreuses productions vidéo, il travaille à son compte dans un premier temps puis décroche un poste de Graphiste pour un service communication.
L’infographie est bien son domaine de prédilection mais il affectionne particulièrement le dessin traditionnel et les techniques mixtes bombes/acrylique, il change régulièrement de supports afin de parfaire différentes techniques.

Depuis les années 90 il ne quitte pas les bombes aérosol et réalisera au fil des ans des centaines de fresques.
Après les années Vandal propre à l’école du Graffiti, il prendra par la suite l’habitude d’aller peindre plus tranquillement sur terrain et autres friches industrielles afin de produire des peintures murales plus techniques.
Il participe également à des Jam et autres performances artistiques en France et en Europe dès que l’occasion se présente.
Atomic est expert dans l’art du lettrage « Wild Style » mais se démarque particulièrement dans le « Character Design ».

Fort de son expérience dans le story board il affirme ainsi son style au travers de Perso en insistant sur les contrastes et les aplats de couleurs.


Atomic